La parole à Racim Menasria et Jocelyn Pochon, les deux lycéens de EPIN ayant obtenu 20/20 au baccalauréat 2019

Cette année, nous avons la fierté d'avoir deux étudiants ayant obtenu 20/20 au baccalauréat. Nous allons aujourd'hui à la rencontre de Racim Menasria et de Jocelyn Pochon pour leur donner la parole. Nous les interrogeons sur leur vision du baccalauréat, la suite de leurs études ainsi que leurs meilleurs souvenirs à EPIN.

 

Racim MENASRIA

 

Que représente le bac pour toi ?

C’est la fin d’un chapitre et le début d’une nouvelle histoire. Je le considère comme l’aboutissement de plusieurs années de travail, le reflet de mes efforts.
Par ailleurs, c’est aussi un défi et l’opportunité de mettre à l’épreuve l’efficacité de mes méthodes de travail une dernière fois avant l’entrée dans le supérieur. De nos jours, son importance tend à diminuer mais il s’agit avant tout pour moi de se dépasser.
Enfin, en matière de connaissances, je crois qu’il constitue le bagage culturel nécessaire afin d’être apte à affronter l’exigence des études supérieures ou plus simplement la vie d’adulte.

 

 

Que fais-tu l’année prochaine ?

L’année prochaine j’entrerai en CPGE (classe préparatoire aux grandes écoles) scientifique MPSI (maths physique science de l’ingénieur) au lycée Saint Louis à Paris dans l’optique d’intégrer une école d’ingénieurs.

 

Quel est ton meilleur souvenir à EPIN ?

Il est difficile de répondre à cette dernière question. Chacune de ces sept dernières années a son lot de souvenirs et d’anecdotes. Entre les différents voyages en Italie au lycée, le projet de l’option musique, les tournois de foot du collège, on se perd facilement.
Mention spéciale pour le voyage de 3ème à Berlin, qui a été enrichissant à tous les niveaux. Enfin, je me dois d’évoquer les pseudos « bagarres » à 15 contre 1, face à monsieur Debuchy, en cours de sport en 6ème, qui nous ont bien fait rire.

 

Jocelyn POCHON

 

Que représente le bac pour toi ?

Pour moi le bac est symboliquement assez important. Il s’agit du premier « vrai » diplôme pour les élèves. Il a nécessité plusieurs années de travail au lycée : c’est l’aboutissement de nos sept ans passés à EPIN. Il est vrai qu’on est tous heureux d’avoir une très bonne note au bac mais selon moi il y a deux choses à retenir : ce qu’on a appris au cours de l’année et la méthode de travail, mise en place pendant les révisions, qui est propre à chacun.

Au final quand on repensera à nos années au lycée ce n’est pas notre note au bac qui nous viendra en premier à l’esprit mais tout ce qui s’est passé avant les épreuves au cours de l’année.

Cependant, plutôt qu’une fin des études, le bac représente un passeport qui ouvre les portes des études supérieures. Certes il termine la vie lycéenne mais surtout il permet aux élèves d’accéder aux formations qui seront encore plus décisives pour notre avenir.

 

Que fais-tu l’année prochaine ?

L’année prochaine je m’oriente vers une PACES (première année commune aux étudiants en santé) dans l’université Paris Descartes. L’objectif à l’issue de cette année très sélective serait de pouvoir obtenir une place dans la filière médecine.

 

Quel est ton meilleur souvenir à EPIN ?

Question plutôt difficile, mais parmi ces sept années passées à EPIN trois moments sortent du lot. Les deux premiers sont directement liés à l’option musique avec Mme Girard. Il y a tout d’abord le voyage en Italie pour étudier le courant Baroque. Je garde un excellent souvenir des visites faites à Rome et à Florence ainsi que la « fameuse » organisation de Mme Girard. Encore en rapport avec l’option musique il y a la performance faite au musée MAC-Val.

Enfin, le dernier très bon souvenir que je garde d'EPIN est encore un voyage en Italie mais cette fois avec Mme Roy, M. Tauziède et M. Cargill en Sicile et à Naples pour y étudier le volcanisme.

 

 

Nous tenons à remercier Racim Menasria et Jocelyn Pochon pour leurs réponses. Toute l'équipe d'EPIN leur souhaite, à eux et à tous les anciens élèves, le meilleur pour leur poursuite d'études.